Bonjour lecteur,
J’espère que tu vas bien.
Lundi j’ai repris la route vers Shimkent après 3 jours de repos à Kyzylorda (J’avais posé mon vendredi)
C’est à nouveau très aride, mais plus peuplé que mon étape précédente.
Les vendeurs de fruits sur les bords de route sont nombreux : pastèques (qui se dit « arbouse » en russe !), abricots, melons…
Vendeurs d’abricots.
(Voilà une vraie légende)
Encore une fois je devrai insister pour payer (!)
Photos, rires, agitation, plaisanteries… bref la routine :)
Discussions, famille, argent
90% des gens avec qui je discute me demandent si je suis marié.
Parfois cette question vient même très rapidement, après le « comment tu t’appelles ? »
Chez eux ils se marient très tôt et ont des enfants très tôt aussi (et 3 au minimum)
Ils sont surpris d’apprendre que je ne suis pas marié et que je n’ai pas encore d’enfant.
Et il arrive assez souvent qu’on me propose une épouse ou qu’on me demande en mariage… C’est toujours sur le ton de la rigolade bien sûr ! Evidemment, car je suis « intéressant » !
Parfois j’explique que je suis divorcé. Alors on me demande quelle pension je verse à ma femme. Car ici ces pensions sont élevées, un gars m’expliquait qu’il versait la moitié de son salaire à sa femme depuis son divorce !
On me demande aussi souvent mon salaire. Je fais donc la même chose. Un chauffeur sur les camions de chantiers gagne 36 000 « Tengues » = 180 EUR par mois. Un autre qui travaille dans le bâtiment gagne 250 EUR/mois.
Ici un sou est un sou… Si on veut du pain au restaurant, on le demande, et on doit préciser combien de tranches on souhaite, et on paye chaque tranche ! (Ce n’est pas le cas dans tous les restos, mais souvent)
Dans les gares il n’y a pas de chariot à disposition pour mettre les bagages : ça ne rapporte rien ça ! Il y a des porteurs (qui poussent leur chariot)
Bon, donc évidemment, quand je leur parle des salaires français, en « Tengues », ils ont du mal à compter les zéros.
Et pourtant comme je vous ai dit, on est souvent très généreux avec moi.
Une route de la soie bitumée.
Je me trouve actuellement sur une route qui fera partie d’une immense liaison Chine – Europe (en gros Shanghai – St Petersbourg, puis le reste de l’Europe via le réseau européen). Elle est donc en travaux partout (mais sans trop gêner la circulation)
Elle n’est pas tout à fait sur le trajet de l’ancienne route de la soie, qui passait au sud de la mer Caspienne (j’ai fait rapidement un article détaillé, avec une carte, ici) mais elle relie de la même manière les 2 continents.
Le but est d’accélérer les échanges commerciaux, car les transports maritimes sont trop longs.
Il y a donc des ouvriers partout, des engins partout…
Pour moi, cycliste, c’est une bonne chose : Des portions sont déjà construites, la route est parfaite. Certaines sections ne sont même pas encore ouvertes à la circulation, mais je peux y accéder. J’ai donc pu effectuer des trajets de 20km parfois sur une route toute neuve, toute lisse (du velours) immense, sans voiture, une vraie piste cyclable cette fois !
Et quand je passe à côté des chantiers, j’ai droit à un concert de klaxons des pelleteuses, bitumeuses… digne du Tour de France.
Bon, cela dit, ça sent mauvais tout ce pétrole : Engins de chantiers, camions… (Des quantités inimaginables de matières sont déplacées : Terre pour niveler, bitume… Ce sont des files de camions ininterrompues), puis trafic routier.
Mais malheureusement c’est l’odeur de la « croissance »… Une croissance soi-disant nourricière, comme on nous l’apprend à l’école…
Un garage
Mardi je fais un arrêt au stand : petite maintenance à faire sur le vélo.
Pas de problème, il y a des garages un peu partout.
Le « Norauto » local
Pause (travail et photo)
Accueil très animé des gaillards encore une fois, et agitation autour du vélo (Ils n’ont jamais vu un vélo avec des vitesses).
Ils veulent voir mon passeport, des Euros, l’appareil photo, les photos, le téléphone… Ils sont très curieux, comme souvent.
Ils vont insister pour que j’essaye ce qu’ils appellent le « noze »…
Le « noze »
C’est un « narcotique » comme ils disent (A priori ce n’est pas du tabac si j’ai bien compris) et qui se met sous la langue pendant 2 min. Il se consomme de la même manière qu’une cigarette.
Donc j’ai essaye (si si). Je ne l’ai gardé qu’une minute (pas trop habitué quand même) Ensuite on rejette tout, on attend, et… on a envie de s’asseoir et de dormir… Ça marche bien, et ça les a bien fait marrer :)
C’est vraiment très très courant au KZ.
Nouvelle famille
Le soir j’arrive dans un petit village qui fait vraiment oasis au milieu du désert (Vous verrez plus loin pourquoi je parle de désert). Et, de manière incroyable, il y a des arbres (cf. article détaillé ici)
J’ai envie de planter ma tente dessous car en général je suis en plein soleil et à 18h il est encore impossible de rester sous la tente.
Je demande à l’habitant du coin si cela pose problème (Bon là je vous donne un exemple de comment je fais pour atterrir chez les gens hein. Et ce n’était pas prémédité !) Il me dit que non, et me montre un autre coin encore plus agréable. Et de fil en aiguille, il me propose de venir dormir chez lui (Bon j’ai simplifié, mais en gros c’était ça. Ça se fait très naturellement et facilement)
Apprenant que je suis dans l’informatique, il va m’emmener chez un ami qui possède un ordinateur (Ce qui est rare dans ce genre de village) qui ne fonctionne pas.
J’allume la machine et là… tout marche bien… J’éteins, je rallume, tout fonctionne bien… C’est pas de chance !
Toutes leurs tentatives pour perturber l’appareil furent vaines : Celui-ci ne montra aucun signe de faiblesse.
Mais revenons à notre famille d’accueil : Quatre garçons, en vacances, travaillant pour la famille (ramassage de pastèques). Les parents tiennent un magasin.
Le père, un des fils, un ami.
Bon j’avoue, cet hébergement m’a coûté 2 bières.
Une fratrie très soudée, et attachante.
Je partagerai un vrai repas (Toujours beaucoup mieux que mes nouilles) basé surtout sur le poulet (qu’ils élèvent) : poulet et pomme de terre, et poulet dans un bouillon avec des pâtes (2ème photo)
Et puis tomates, concombres, pain, et du thé, toujours du thé, partout, et tout le temps. C’est ici aussi LA boisson nationale.
Poulet dans un bouillon avec des pâtes.
L’un des frères (en orange sur la photo) est champion régional de lutte, et veut être officier. Le suivant veut être policier. Le plus âgé veut travailler dans l’informatique.
Après une longue soirée d’été (discussions, observation des étoiles, jouage avec les téléphones (Le téléphone portable est très répandu et coûte peu cher))… je dormirai sur la terrasse avec 2 des frères. Les parents et les autres frères dormiront aussi dehors, sur une petite estrade, aménagée avec des matelas.
Le lendemain, soins dentaires
Je fais beaucoup de photos des personnes, mais, si vous êtes observateur, vous aurez pu constater que les paysages ne sont guère variés. Heureusement que tout ce monde est là :)
Le mercredi matin, je repris la route.
Enfin vinrent… les dromadaires !
Je vous avais bien dit que c’était désertique !
Dromadaires parallèles.
On m’avait prévenu de leur présence (mon père les avait repérés sur Google, il trouvait aussi que c’était un signe de désert), et j’attendais de les voir.
Nuit Ouzbek
Le soir j’arrive devant des « cabanes » de chantier. On me propose d’y dormir. Quand je peux éviter de monter la tente, je n’hésite pas trop.
Enfin un hôtel
Je vais passer la nuit avec un ouzbek (l’Ouzbékistan est tout proche), de mon âge, extrêmement ouvert et avenant, qui travaille sur le chantier de LA route (Europe – Chine, si vous suivez). Il est chargé de garder les engins, garés à côté, pendant la nuit. Et il m’explique qu’il y a plein de « bandite » (comme il dit) qui s’intéressent à ces machines !
Donc il ne dort quasiment pas, et dès qu’il y a un bruit suspect (une voiture qui s’arrête…) il va voir ce qu’il se passe. C’est assez dangereux comme travail car certains n’ont pas trop d’état d’âme quand il s’agit d’argent…
De mon côté, je vais bien dormir… L’avantage d’être fatigué par le vélo, c’est qu’on dort bien partout, et en toute circonstance :)
Chacals
Les ouvriers me parlent de chacals qui rôdent dans les steppes par ici ! Certains disent qu’ils sont dangereux, d’autres pas.
On m’avait parlé des scorpions (=protéines :)) mais pas encore des chacals.
Il me reste une nuit avant Shimkent.
Avant de trouver un endroit où passer la nuit, je demande à une 10aine de personnes s’il y a des risques avec ces animaux dans le coin. De l’avis plutôt général, ils ne sont pas vraiment dangereux, ils sont petits, et sont loin des villes. Je planterai ma tente à côté d’un village, pas loin de la route.
Shimkent et la suite
C’est la troisième ville du Kazakhstan par sa population (630 000 habitants), et la plus grande ville que je vais traverser. Je pense y rester 4 jours minimum (internet, visite, repos)
Je pars ensuite vers Taraz (Тараз) où je serai alors proche de la frontière du Kirghizstan, que je franchirai au sud de la ville.
Les paysages devraient commencer à changer.
Tour de France !
L’équipe Astana est kazakhe et porte le nom de la capitale du Kazakhstan. C’est le seul moment (le Tour de France) où l’on entend ce nom (c’est une manière de faire connaître cette capitale), vous y penserez maintenant j’espère !
Alexandre VINOKOUROV est le leader de la formation.
Mais bon on ne m’a jamais parle de lui, j’ai l’impression qu’ils s’en foutent de ce sport ! (pourtant il a été élu sportif de l’année sur un site kazakh)
A bientôt pour d’autres nouvelles ! (sur Shimkent ?!)
PS: quelle est la capitale du Kazakhstan ?
Bon, rapidement, et sans les accents (absents de mon clavier. Et puis ca fait exotique comme ca)
Tout va bien, j’ai rencontre beaucoup de monde ces 8 derniers jours, dont 2 personnes parlant anglais a Taraz. Avec l’une d’elle et sa famille, en quelques heures j’ai appris sur le Kazakhstan beaucoup plus qu’en 1 mois !
J’ai aussi croise 2 filles cyclistes, americaine et anglaise, parties… de Thailande !! Ce sont les premiers cyclistes etrangers que je vois.
J’ai vu d’autres etrangers aussi. Cette route est-ouest inspire plus les voyageurs que la route nord-sud que je parcourais du debut de mon voyage.
Demain je franchirai la frontiere kirghize, et rencontrerai sur ma route les premieres « vraies » montagnes (que je vois depuis quelques jours deja. Les paysages ont beaucoup change ! De la neige… au loin)
Pour ceux qui me suivent sur la carte, je prends la route qui part au sud de Taraz en direction de Talas. Je rejoins la M41 puis je poursuis vers le sud jusqu’a Osh (au total : 660km, dans les montagnes) Je pense rejoindre groupe d’alpinistes a Osh.
Je quitte le Kazakhstan avec quand meme un petit pincement au coeur. Apres 40 jours dans ce pays, je commencais a etre habitue et apprecier cette culture et ce peuple… La famille avec laquelle j’ai passe la soiree aujourd’hui etait TRES chaleureuse.
Des photos… la prochaine fois ! Desole lecteur, je n’ai pas trop pris le temps de m’occuper de toi cette fois-ci.
A bientot,
Yann
Après les déserts brûlants du Kazakhstan, voilà de quoi se rafraîchir !
Une longue montée m’a amené sur les hauteurs du Kirghizstan, dans un décor qui m’a fait penser au magazine Géo, ou à la chaîne National Geographic…
Enfin, je respirais :)
L’une des nombreuses yourtes de cette vallée.
Des moutons partout…
(il vaut mieux aimer le mouton par ici… parfois il n’y a que ça au « menu »)
De magnifiques rivières, paradis des pécheurs parait-il.
Parfois certaines personnes demandent à être photographiées !
C’était le cas de cette femme.
Oiseau kirghize.
Voilà, ça c’était pour le Kirghizstan vert, d’altitude. Je ne suis resté dans ces décors que 2 jours seulement, malheureusement.
Ensuite, après une descente de 60km (je n’exagère pas ! Le rêve du cycliste), je suis passé de 3200m à 900m, pour trouver des paysages plus secs.
Baignade (= lavage) le soir avec une famille du coin.
Beau moment, au soleil couchant !
Cette étendue d’eau est l’immense réservoir d’un barrage. Ça rend les photos et la baignade moins romantiques mais c’est joli quand même !
Le parcours
Cette étape fut la plus longue entre 2 « grandes » villes (10 jours), et fut encore une fois assez riche en émotions !
J’ai été accueilli 3 fois, par :
- une famille Kirghize au père… un peu autoritaire (Mange ! Prends une photo. Maintenant, aux toilettes, et au lit !) Mais j’ai quand même apprécié son hébergement !
- un grand-père Kirghize : je m’apprêtais à planter la tente, quand celui-ci est venu me prévenir de la présence de loups dans la région. On m’a beaucoup parlé de ces loups (après les chacals), en m’expliquant que, proche des villages ou de la route, il n’y avait pas de danger. J’ai donc fait en sorte de limiter les risques (j’en ai combattu 4 ou 5 à mains nues, pas plus). Finalement je suis resté 2 nuits et 1 journée « de repos » chez ce grand-père, très amical.
- une famille Ouzebeke très généreuse.
Et, entre autre, j’ai :
- ressenti le tremblement de terre qui a malheureusement fait 13 morts en Ouzbékistan (article ici),
- franchi un col à 3330m,
- conduit une Mercedes classe E avec 4 enfants qui sautaient partout derrière… (impossible de mettre ou de faire mettre des ceintures de sécurité ici…),
- dormi dans plusieurs yourtes (soit pour rien, soit pour 1,40 EUR environ…),
- …
Osh
La ville où je me trouve actuellement est à la frontière entre l’Ouzbékistan et le Kirghizstan. Les ouzbekes sont nombreux (40%) et les tensions « inter-ethniques » sont parfois violentes : il y a un an des émeutes ont fait près de 200 morts en quelques jours.
Bernard Kouchner était venu ensuite pour « renouveler le soutien de la France aux efforts de stabilisation et de retour à l’ordre légal. », d’après le site du ministère des affaires étrangères.
D’après ce même site, « la situation s’est apaisée dans le pays depuis le référendum du 27 juin 2010 mais de nouveaux incidents ne sont pas à exclure. »
Au Kazakhstan on m’avait souvent déconseillé d’aller à Osh, « c’est la guerre là-bas ! » me disait-on. Le souvenir des émeutes de 2010 étaient encore bien présent.
Actuellement tout est calme, et quand je parle de ces incidents aux habitants, ils me disent que tout va bien… Mais si je leur demande est-ce que les ouzbekes et kirghizes s’entendent bien, j’obtiens parfois des « oui » affirmatif, et parfois des moues… qui veulent en dire beaucoup.
J’aborde ce sujet avec précaution évidemment.
Ne vous inquiétez pas, de nombreux voyagistes français organisent des expéditions et circuits passant par Osh cet été, la situation est stable.
Euh pas terrible de finir un article avec ce sujet, mais tant pis :) Regardez à nouveau les photos pour vous changer les idées ! Et puis j’ai déjà un autre article en préparation… (quel maître du suspense ce Yann)
a+
« Camp de base » :)
Ce camp est très bien équipé, et j’ai encore un peu d’avance, donc finalement je poursuis le trajet jusque là-bas à vélo (plutôt que d’attendre 6 jours à Osh)
Pour les Google Mappeurs, je prends la M41 puis la A372. En théorie j’arrive vendredi 29 (je compte 5 jours) Il y a un col à 3600m sur la route.
2 autres articles arriveront automatiquement mercredi et jeudi !
Victor, alias « Montaigne » dans les commentaires, a écrit un article à mon sujet dans le journal local de sa ville (petite commune au centre du Kazakstan)
Le titre en rouge signifie « Yann d’Orléans ».
Cliquez pour agrandir, et bonne lecture :)
Bon, je vous aide avec la traduction extra-terrestre de Google :
Jean d’Orléans
Les résidents Ulytau s’habituer à l’apparition sur les routes de l’arrondissement veloputeshestvennikov voyagez en groupe et seul. En règle générale, les touristes des pays voisins du Kazakhstan. Mais récemment visité Ulytau voyageur insolite – un représentant du lointain (et dans le même temps, si proche de nous) de la France.
Il fait la balade à vélo sur un trajet de Tioumen – Och. Une caractéristique intéressante – il monte un vélo avec un camion semi-remorque mono-roue. Il est très pratique – vous pouvez mettre dans le panier sur la route a exigé beaucoup de choses, presque autant que dans le coffre d’une motocyclette à trois roues. Il n’est pas nécessaire de prendre un nouveau sac à dos volumineux, constriction mouvement.
Nom du voyageur est Ian Dade (Yann Deydier). Pour regarder son âge de 28 ans, il était hors d’Orléans.
Je l’avoue, dans les premières minutes de la datation moi le sentiment que Ian est moi qui joue. Et il n’était pas un étranger, et un jeune acteur qui décide de la pratique comme un étranger. Imaginez un homme avec un bel accent, mais dans le même temps d’avoir un vocabulaire limité. De nombreuses questions qui lui sont adressées, il avait une droiture désarmement de son ton, répondit: «Je ne comprends pas! ». Cette tonalité est généralement jeunes, de faire du rattrapage, les taquineries les uns les autres, « Not Gonna Get! »Mais à la fin de la barrière de la langue est vaincu, et c’est ce que nous avons découvert. 10 janvier années à travailler dans un cabinet spécialisé en technologie de l’information. Les lois du travail en France vous permet de prendre un congé sans solde pour un maximum de 11 mois. Ian a décidé de l’utiliser pour voyager. Sur la route, il était de 25 jours. Dans le dernier paragraphe de son sentiers de vélo – dans la ville d’Osh, il doit répondre avec un groupe de grimpeurs et dans sa composition à grimper Pic Lénine.
Je lui ai demandé pourquoi il a choisi un tel moment difficile pour le chemin cycliste de l’objectif, à travers le Kazakhstan central, à un moment où il ya un sentier pavé « Astana – Almaty»? Dit que malgré le fait qu’il était très surpris quand j’ai dû aller sur la route dans la zone d’Arkalyk au Ulytau, à l’époque, comme les guides disent qu’il ya la route goudronnée, il ne regrette pas. Depuis spécifiquement choisi cette voie pour explorer l’arrière-pays du Kazakhstan.Yang souligne la bonne volonté de notre peuple. Il dit que quand il le vit debout sur la route, de nombreux conducteurs arrêtés et se demande s’il n’a pas besoin d’aide, offrir de la nourriture, les boissons (et pas seulement de l’eau …). Et un jour, en souriant, Ian, il était même persuadé de prendre un peu d’argent!Pourtant, il est surprenant que de nombreux invités lui, un parfait inconnu pour eux un homme pour la nuit. Il est inhabituel.
Depuis que je suis trop travailler dans l’informatique, ne pouvait pas résister à la question de sa rémunération en France. Jan sourit encore: «J’ai souvent poser cette question. » Il appelle le montant de son salaire, et je comprends que nous parlons de la rémunération habituelle, régulière Akim régional.
Yang dit qu’il aime notre nature. Mais il n’a pas vu d’Almaty!Entre nous, j’ai dit à Jan, si tu n’as pas connu le choc culturel de ce qu’il a vu, au Kazakhstan, après le niveau de vie qui existent en Europe? Non, dit-il, bien sûr, le niveau de vie que je n’ai jamais vu ici, pas comparable à la moyenne européenne, mais nous ne pouvons pas s’empêcher de remarquer que votre pays est un grand potentiel. En Arkalyk il vit la bauxite énormes mines qui est exploité, 10 km de terrain des champs agricoles qui sont traitées par des tracteurs puissants, des espaces sans limites.
La seule chose qui m’a frappé désagréablement, a dit Yang, est que vous êtes couché sur tout le colis bouteille. Même les sites naturels les plus beaux et encombré. C’est très triste. Et bien sûr, il a été surpris qu’une telle route n’est pas asphaltée majeurs complètement. J’ai dit que, avant, il est encore plus difficile pour un cycliste sur la route Kyzylorda.Nous disons au revoir à Ian, maintenant je vais suivre avec intérêt ses progrès vers l’objectif de l’Internet. J’invite les lecteurs de journaux et de Zhezkazgan visiter son site: Lesgrandesvacances.fr, où il anime une analyse détaillée, richement illustré en compte de son voyage.
Bonne route et rencontre intéressante que vous, Jan!